Accueilécho des plaines | ft. dina
2 participants
# Dim 1 Mai - 20:08
Jack Arbuckle
hôte ● staff
occupation : Fureteur aventureux adepte des expéditions pour concocter remèdes, [ herboriste et apothicaire ] d’appoint paré à dénicher les raretés et s'inspirer de cultures tierces pour panser les plaies. [ Chasseur de primes ] sporadique et [ guide ] qu'on paye quelques pièces contre escorte et aventures. Naguère [ inventeur ] de babioles en tout genre de par la déviance.
positionnement : [ Inconscience ] mordante du macrocosme extérieur et des tripailles-machineries fallacieuses.
conception : Trombine aux ridules surannées, piégée au déclin d'une quatrième décennie factice, pseudo-immortelle. [ Quarante-sept ] cycles codés à l'encéphale, pourtant façonné de toutes pièces au [ printemps 2024 ]. Vingt-huit cuvées d'un temps qui file sans laisser d'empruntes.
myocarde : [ Truc solitaire ], recodé grossièrement par flemmardise comme veuf d'une femme aimée avant de trépasser, juste évoquée, sans plus de souvenirs attribués des noces.
inventaire : ● L'harmonica indissociable, en fin siffleur au coin du feu.
● Un As de Pique, carte en réflexe d'une narrative d'un jadis pas si lointain.
● Trucs et bidules amassés, servant aux lubies inventrices.
● Quelques herbes séchées, principalement médicinales.
● Une boîte d'allumettes éclairant la voie.
● Le colt serti de quelques balles, toujours chargé.
● Un As de Pique, carte en réflexe d'une narrative d'un jadis pas si lointain.
● Trucs et bidules amassés, servant aux lubies inventrices.
● Quelques herbes séchées, principalement médicinales.
● Une boîte d'allumettes éclairant la voie.
● Le colt serti de quelques balles, toujours chargé.
. : 
faciès & artiste : j. simpson (ava: varactyl-cheval)
écho des plaines
I never meant to hurt you, please never go away. I drove all night to tell you, I wish that you would stay.
Zénith incandescent en déclin, aux rayons qui martèlent l'étendue désertique. Néant mutique où seul trône la complainte de quelques charognards lorgnant sur la couenne d'un bestiau fraichement trépassé. Sud où tout devient hostile, jusque dans la poussière qui s'élève du sol pour écorcher le derme. Elle apparaît, Ormbrave la terrible, en ombre crasse enclavant ses remous comme si ses remparts ravalaient tous les maux du monde. Boite de Pandore où il ne vaut guère mieux pas s'aventurer.
Le claquement des sabots ont cessés depuis déjà de longues minutes, l'pied posé à terre et la gueule de faction. Hésitation mordante, en dissonance interne écorchant l'code perdu dans l'encéphale. Bug système et plantage des zones gps assimilées. L'âpre besoin insaisissable et mécanique de s'égarer dans les confins redoutés, ayant fait l'chemin sans même réaliser. 'Y a quelque chose à trouver ici, sans savoir quoi. Erreur système, improvisation. L'truc bouge enfin, retrouvant signe de vitalité tout en saisissant la bride de la jument palomino, décidé à poursuivre à pieds, comme prit d'un besoin de dégourdir les guiboles. Errance mécanique, les céruléennes égarée dans l'vide.
Jusqu'au fracas et les palabres graves, le ton haussé non loin. Ça grogne, jusqu'à la détonation d'un coup de feu qui résonne dans les airs. Canasson attaché à la hâte au premier piquet venu, accourant en direction du grabuge en instinct protecteur pré-programmé. L'colt sort, la sécurité sautée, par prudence. « Hey! » qu'ça clame en direction d'la roulotte noeud-à-problèmes, constatant qu'un gaillard a empoigné le bras de ce qui doit être la propriétaire des lieux. « J'peux savoir ce qu'vous faites ? » grondement qui s'extirpe des babines, l'guide qui déboule plus près malgré la menace du quidam, décrochant aussitôt une droite qui vient s'écraser sur l'pif de l'agresseur en un craquement sourd, profitant de l'instant d'étourdissement pour mieux s'imposer tout en pointant le canon. « Dégagez. » ordonnance claire et concise.
@Dina Azzam
Le claquement des sabots ont cessés depuis déjà de longues minutes, l'pied posé à terre et la gueule de faction. Hésitation mordante, en dissonance interne écorchant l'code perdu dans l'encéphale. Bug système et plantage des zones gps assimilées. L'âpre besoin insaisissable et mécanique de s'égarer dans les confins redoutés, ayant fait l'chemin sans même réaliser. 'Y a quelque chose à trouver ici, sans savoir quoi. Erreur système, improvisation. L'truc bouge enfin, retrouvant signe de vitalité tout en saisissant la bride de la jument palomino, décidé à poursuivre à pieds, comme prit d'un besoin de dégourdir les guiboles. Errance mécanique, les céruléennes égarée dans l'vide.
Jusqu'au fracas et les palabres graves, le ton haussé non loin. Ça grogne, jusqu'à la détonation d'un coup de feu qui résonne dans les airs. Canasson attaché à la hâte au premier piquet venu, accourant en direction du grabuge en instinct protecteur pré-programmé. L'colt sort, la sécurité sautée, par prudence. « Hey! » qu'ça clame en direction d'la roulotte noeud-à-problèmes, constatant qu'un gaillard a empoigné le bras de ce qui doit être la propriétaire des lieux. « J'peux savoir ce qu'vous faites ? » grondement qui s'extirpe des babines, l'guide qui déboule plus près malgré la menace du quidam, décrochant aussitôt une droite qui vient s'écraser sur l'pif de l'agresseur en un craquement sourd, profitant de l'instant d'étourdissement pour mieux s'imposer tout en pointant le canon. « Dégagez. » ordonnance claire et concise.
@Dina Azzam
# Dim 1 Mai - 23:44
Dina Azzam
hôte ● staff
occupation : diseuse de bonne aventure
positionnement : inconsciente de sa condition
conception : trente-sept ans en apparence, conçu en 2040
myocarde : vielle folle, bisexuelle
inventaire : ☾ des feuilles de menthes
☾ un jeu de tarot
☾ une bouteille de whisky
☾ un jeu de tarot
☾ une bouteille de whisky
. : 
faciès & artiste : ft. golshifteh farahani, queen corvidae
écho des plaines
ft. @Jack Arbuckle
C'était un jour comme les autres. Un jour de malchance.
Dina s'était levé du mauvais pied. La tête encore en ébullition. Le réveil avait été difficile. Comme chaque matin, elle avait posé sa pancarte devant sa roulotte. Etourdie, elle ne vît pas l'énorme crotte de cheval dans laquelle elle avait embourbé son talon droit. Elle souffla et reprît un peu de whisky. La journée pouvait commencer.
Elle enchaîna deux clients. Des habitués. D'abord, Anneka lui demanda des nouvelles de son petit fils. Dina réalisa un tirage en croix, quatre cartes juxtaposés en croix. Mauvais présage, elle poussa un cri de terreur et expliqua à Anneka que les cartes ne présageaient rien de bon. Affolée, Anneka jeta la somme due et pris la fuite. Dina prit soin de ramasser les billets envolés et but une autre gorgée de whisky. Quelques minutes plus tard, ce fût le tour de Aslander. Aslander, il n'était qu'intéressé que par l'argent. Dina avait bien essayé de lui indiquer de bonnes nouvelles en rapport avec l'amour, mais sans succès. Il avait pourtant une ligne du coeur très impressionnante, mais lui ne tenait compte que de la ligne du succès. Satisfait des commentaires de Dina, elle empocha néanmoins un beau billet.
A peine le temps de souffler suite au départ d'Aslander qu'on toqua à la porte. Sors d'ici, sorcière ! on s'exclama. Dina fronça les sourcils, elle avait l'habitude des noms d'oiseaux, mais qu'on vienne la chercher jusqu'à dans sa roulotte, non. Elle termina en une seule gorgée sa bouteille de whisky, comme pour se donner du courage. Elle empoigna fermement la bouteille vide et entreprit d'entre-ouvrir la porte de sa roulotte.
Elle aperçut la moustache de Cilian. Elle voulut refermer la porte aussitôt, mais ce dernier lui attrapa le bras presque en tordant sa carcasse. Sa bouteille vide explosa au sol en fracas.Qu'est-ce que tu vas raconter à ma bonne femme, hein ? Sorcière ! Dina avait juste dit ce que lui disait les cartes, son mari la trompait, c'était ainsi. Elle avait pu obtenir un beau billet suite à cette séance, elle n'avait donc aucun regret. Tu vas parler, femme ! L'homme tira dans une botte de foin non loin. Dina essaya de se débattre en vain.
Hey ! J'peux savoir ce qu'vous faites ? A peine le temps de réfléchir, Cilian recevait une grande baffe dans la gueule. Dina se retrouva propulsée à terre. Dégagez ! Et le mauvais mari déguerpit aussitôt.
Sous le choc, Dina eut du mal à se relever, elle manqua de tomber à la renverse une nouvelle fois et s'accrocha à la veste du jeune homme qui venait de voler à son secours. Merci ! Milles merci ! s'exclama-t-elle. Attendez, je dois ... A peine le temps de reprendre son souffle, elle fouilla dans ses poches et récupéra une petite pincée de sel qu'elle jeta par dessus son épaule. Elle s'accrocha à son sauveur pour se relever, passa ses mains sur ses jupons pour enlever la poussière, puis posa ses mains sur sa taille, essoufflée par tant de péripéties.
Elle posa son regard sur le jeune homme pour la première fois. Qui êtes-vous ? Son visage ne lui disait rien, il n'avait pas la tête d'un client ni d'un habitant de Ormbrave. Vous ne devriez pas rester ici, la ville de Ormbrave est dangereuse pour les étrangers.
Dina s'était levé du mauvais pied. La tête encore en ébullition. Le réveil avait été difficile. Comme chaque matin, elle avait posé sa pancarte devant sa roulotte. Etourdie, elle ne vît pas l'énorme crotte de cheval dans laquelle elle avait embourbé son talon droit. Elle souffla et reprît un peu de whisky. La journée pouvait commencer.
Elle enchaîna deux clients. Des habitués. D'abord, Anneka lui demanda des nouvelles de son petit fils. Dina réalisa un tirage en croix, quatre cartes juxtaposés en croix. Mauvais présage, elle poussa un cri de terreur et expliqua à Anneka que les cartes ne présageaient rien de bon. Affolée, Anneka jeta la somme due et pris la fuite. Dina prit soin de ramasser les billets envolés et but une autre gorgée de whisky. Quelques minutes plus tard, ce fût le tour de Aslander. Aslander, il n'était qu'intéressé que par l'argent. Dina avait bien essayé de lui indiquer de bonnes nouvelles en rapport avec l'amour, mais sans succès. Il avait pourtant une ligne du coeur très impressionnante, mais lui ne tenait compte que de la ligne du succès. Satisfait des commentaires de Dina, elle empocha néanmoins un beau billet.
A peine le temps de souffler suite au départ d'Aslander qu'on toqua à la porte. Sors d'ici, sorcière ! on s'exclama. Dina fronça les sourcils, elle avait l'habitude des noms d'oiseaux, mais qu'on vienne la chercher jusqu'à dans sa roulotte, non. Elle termina en une seule gorgée sa bouteille de whisky, comme pour se donner du courage. Elle empoigna fermement la bouteille vide et entreprit d'entre-ouvrir la porte de sa roulotte.
Elle aperçut la moustache de Cilian. Elle voulut refermer la porte aussitôt, mais ce dernier lui attrapa le bras presque en tordant sa carcasse. Sa bouteille vide explosa au sol en fracas.Qu'est-ce que tu vas raconter à ma bonne femme, hein ? Sorcière ! Dina avait juste dit ce que lui disait les cartes, son mari la trompait, c'était ainsi. Elle avait pu obtenir un beau billet suite à cette séance, elle n'avait donc aucun regret. Tu vas parler, femme ! L'homme tira dans une botte de foin non loin. Dina essaya de se débattre en vain.
Hey ! J'peux savoir ce qu'vous faites ? A peine le temps de réfléchir, Cilian recevait une grande baffe dans la gueule. Dina se retrouva propulsée à terre. Dégagez ! Et le mauvais mari déguerpit aussitôt.
Sous le choc, Dina eut du mal à se relever, elle manqua de tomber à la renverse une nouvelle fois et s'accrocha à la veste du jeune homme qui venait de voler à son secours. Merci ! Milles merci ! s'exclama-t-elle. Attendez, je dois ... A peine le temps de reprendre son souffle, elle fouilla dans ses poches et récupéra une petite pincée de sel qu'elle jeta par dessus son épaule. Elle s'accrocha à son sauveur pour se relever, passa ses mains sur ses jupons pour enlever la poussière, puis posa ses mains sur sa taille, essoufflée par tant de péripéties.
Elle posa son regard sur le jeune homme pour la première fois. Qui êtes-vous ? Son visage ne lui disait rien, il n'avait pas la tête d'un client ni d'un habitant de Ormbrave. Vous ne devriez pas rester ici, la ville de Ormbrave est dangereuse pour les étrangers.
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# Lun 2 Mai - 10:55
Jack Arbuckle
hôte ● staff
occupation : Fureteur aventureux adepte des expéditions pour concocter remèdes, [ herboriste et apothicaire ] d’appoint paré à dénicher les raretés et s'inspirer de cultures tierces pour panser les plaies. [ Chasseur de primes ] sporadique et [ guide ] qu'on paye quelques pièces contre escorte et aventures. Naguère [ inventeur ] de babioles en tout genre de par la déviance.
positionnement : [ Inconscience ] mordante du macrocosme extérieur et des tripailles-machineries fallacieuses.
conception : Trombine aux ridules surannées, piégée au déclin d'une quatrième décennie factice, pseudo-immortelle. [ Quarante-sept ] cycles codés à l'encéphale, pourtant façonné de toutes pièces au [ printemps 2024 ]. Vingt-huit cuvées d'un temps qui file sans laisser d'empruntes.
myocarde : [ Truc solitaire ], recodé grossièrement par flemmardise comme veuf d'une femme aimée avant de trépasser, juste évoquée, sans plus de souvenirs attribués des noces.
inventaire : ● L'harmonica indissociable, en fin siffleur au coin du feu.
● Un As de Pique, carte en réflexe d'une narrative d'un jadis pas si lointain.
● Trucs et bidules amassés, servant aux lubies inventrices.
● Quelques herbes séchées, principalement médicinales.
● Une boîte d'allumettes éclairant la voie.
● Le colt serti de quelques balles, toujours chargé.
● Un As de Pique, carte en réflexe d'une narrative d'un jadis pas si lointain.
● Trucs et bidules amassés, servant aux lubies inventrices.
● Quelques herbes séchées, principalement médicinales.
● Une boîte d'allumettes éclairant la voie.
● Le colt serti de quelques balles, toujours chargé.
. :
faciès & artiste : j. simpson (ava: varactyl-cheval)
écho des plaines
I never meant to hurt you, please never go away. I drove all night to tell you, I wish that you would stay.
Combat d'coq déséquilibré dès l'instant où le canon est paré à tiré. Plus pour paraître hostile que l'être véritablement. En principe. 'Sait jamais c'qu'on peut trouver non loin du bourg-coupe-gorge. Mecton déguerpit dans un borborygme tapageur, esquivant l'escarmouche. Soupir, tandis que les phalanges font rouler le colt qui retrouve aussitôt la ceinture en un mouvement mécanique, l’œil scrutant toujours l'autre en cible verrouillée, être certain qu'il sorte du champ de vision et ne déboule pas avec une bande. Jusqu'à ce que l'autre, rescapée, s’exclame.
Paluche se tend pour l'aider à se relever tout en esquissant risette au coin des labres, rassurant. Puis y a le geste serti d'excentricité, de ceux qu'on ne perçoit pas tous les jours de par l'excès superstitieux. Glich qui pointe, se superpose. L'même minois qui effectue un même rituel à la sorgue tombante en une âpre sensation de déjà-vu cinglante. Les arcades se froncent, cherchent une bribe de réponse qui ne vient guère. Babines s'entre-ouvrent, essaient d'esquisser la moindre interrogation constructive. Néant. Jamais vu la trombine, probablement l'soleil qui tape un peu trop fort.
« Jack. » s'contente de répliquer en retrouvant la demi-lune, sondant les lieux comme pour chercher une évidence en vain. « J'sais pas trop ce que vous lui avez fait pour qu'il se mette dans un tel état, mais j'espère qu'il ne reviendra pas vous importuner. » Y a la roulotte, le cadavre éthylique et la fragrance tord-boyau qui embaume, chatouillant les capteurs olfactifs. « J'imagine que je dois vous retourner l'avertissement au vu de... » l'pif désigne d'un signe la direction où l'autre à déguerpit. « Je crois que je me suis un peu trop éloigné de mon chemin. » constat en normalité qui revient, devrait pas traîner et retourner au bercail, en conviction insufflée par une réinitialisation. « Vous n'auriez pas de l'eau ? Vu le caniard, mon cheval en aurait bien besoin avant de reprendre la route. » Œillade succincte au canasson abandonné à une dizaine de mètres. 'Dirait pas non pour remplir sa gourde non plus.
@Dina Azzam
Paluche se tend pour l'aider à se relever tout en esquissant risette au coin des labres, rassurant. Puis y a le geste serti d'excentricité, de ceux qu'on ne perçoit pas tous les jours de par l'excès superstitieux. Glich qui pointe, se superpose. L'même minois qui effectue un même rituel à la sorgue tombante en une âpre sensation de déjà-vu cinglante. Les arcades se froncent, cherchent une bribe de réponse qui ne vient guère. Babines s'entre-ouvrent, essaient d'esquisser la moindre interrogation constructive. Néant. Jamais vu la trombine, probablement l'soleil qui tape un peu trop fort.
« Jack. » s'contente de répliquer en retrouvant la demi-lune, sondant les lieux comme pour chercher une évidence en vain. « J'sais pas trop ce que vous lui avez fait pour qu'il se mette dans un tel état, mais j'espère qu'il ne reviendra pas vous importuner. » Y a la roulotte, le cadavre éthylique et la fragrance tord-boyau qui embaume, chatouillant les capteurs olfactifs. « J'imagine que je dois vous retourner l'avertissement au vu de... » l'pif désigne d'un signe la direction où l'autre à déguerpit. « Je crois que je me suis un peu trop éloigné de mon chemin. » constat en normalité qui revient, devrait pas traîner et retourner au bercail, en conviction insufflée par une réinitialisation. « Vous n'auriez pas de l'eau ? Vu le caniard, mon cheval en aurait bien besoin avant de reprendre la route. » Œillade succincte au canasson abandonné à une dizaine de mètres. 'Dirait pas non pour remplir sa gourde non plus.
@Dina Azzam
# Ven 20 Mai - 20:29
Dina Azzam
hôte ● staff
occupation : diseuse de bonne aventure
positionnement : inconsciente de sa condition
conception : trente-sept ans en apparence, conçu en 2040
myocarde : vielle folle, bisexuelle
inventaire : ☾ des feuilles de menthes
☾ un jeu de tarot
☾ une bouteille de whisky
☾ un jeu de tarot
☾ une bouteille de whisky
. :
faciès & artiste : ft. golshifteh farahani, queen corvidae
écho des plaines
ft. @Jack Arbuckle
Dina n'entendit même pas le prénom que prononça l'étranger. Absorbée par le liquide de sa bouteille qui se vidait allègrement sur le sol, elle en oublia même le caractère inédit de la situation. C'était bien la première fois que Cilian se comportait ainsi.
J'sais pas trop ce que vous lui avez fait pour qu'il se mette dans un tel état, mais j'espère qu'il ne reviendra pas vous importuner. Oh c'est pas moi la folle ici vous savez, il n'avait qu'à pas prévoir de tromper sa femme. Vous savez ce genre de chose ça ne passe pas inaperçu pour mes cartes. Dina ne remarqua même pas la remarque bienveillante de son interlocuteur.
Je crois que je me suis un peu trop éloigné de mon chemin. Et ça, c'pas mon problème, marmonna t-elle dans sa barbe. Elle se concentra sur sa boucle narrative : lorsqu'elle ne travaille pas, elle doit boire. Et là, le cadavre de bouteille qui gisait sur le sol lui rappelle que c'était sa dernière provision. Elle avance vers sa roulotte, jeta un oeil à l'intérieur. Le bilan était tristement négatif, elle n'avait plus rien à boire.Vous n'auriez pas de l'eau ? Vu le caniard, mon cheval en aurait bien besoin avant de reprendre la route. Moi aussi j'ai soif jeune homme ! Votre bourrin n'a pas le monopole de la boisson. Et puis qui buvait encore de l'eau de nos jours. C'était vraiment un étranger, les habitants d'Ormbrave ne buvait pas d'eau.
Elle inspecta l'étranger, décidément son visage ne lui disait rien. Mais il n'avait pas l'air d'être un bandit, il n'inspirait pas la peur contrairement aux habitants de cette ville. Mais il savait se défendre, contrairement à Dina. Elle avait bien besoin d'un garde du corps.
Je connais un endroit où on peut boire. Je peux vous y mener. Elle présentait cela comme l'ultime faveur de sa part, alors même qu'elle avait plus besoin de lui que lui n'avait besoin d'eau. Vous savez je suis connu ici, vous avez de la chance d'être tombé sur moi. Elle invita l'étranger à la suivre d'un signe de la main. Elle prévoyait d'emprunter les petites ruelles, l'allée centrale ne présageait jamais rien de bon.
J'sais pas trop ce que vous lui avez fait pour qu'il se mette dans un tel état, mais j'espère qu'il ne reviendra pas vous importuner. Oh c'est pas moi la folle ici vous savez, il n'avait qu'à pas prévoir de tromper sa femme. Vous savez ce genre de chose ça ne passe pas inaperçu pour mes cartes. Dina ne remarqua même pas la remarque bienveillante de son interlocuteur.
Je crois que je me suis un peu trop éloigné de mon chemin. Et ça, c'pas mon problème, marmonna t-elle dans sa barbe. Elle se concentra sur sa boucle narrative : lorsqu'elle ne travaille pas, elle doit boire. Et là, le cadavre de bouteille qui gisait sur le sol lui rappelle que c'était sa dernière provision. Elle avance vers sa roulotte, jeta un oeil à l'intérieur. Le bilan était tristement négatif, elle n'avait plus rien à boire.Vous n'auriez pas de l'eau ? Vu le caniard, mon cheval en aurait bien besoin avant de reprendre la route. Moi aussi j'ai soif jeune homme ! Votre bourrin n'a pas le monopole de la boisson. Et puis qui buvait encore de l'eau de nos jours. C'était vraiment un étranger, les habitants d'Ormbrave ne buvait pas d'eau.
Elle inspecta l'étranger, décidément son visage ne lui disait rien. Mais il n'avait pas l'air d'être un bandit, il n'inspirait pas la peur contrairement aux habitants de cette ville. Mais il savait se défendre, contrairement à Dina. Elle avait bien besoin d'un garde du corps.
Je connais un endroit où on peut boire. Je peux vous y mener. Elle présentait cela comme l'ultime faveur de sa part, alors même qu'elle avait plus besoin de lui que lui n'avait besoin d'eau. Vous savez je suis connu ici, vous avez de la chance d'être tombé sur moi. Elle invita l'étranger à la suivre d'un signe de la main. Elle prévoyait d'emprunter les petites ruelles, l'allée centrale ne présageait jamais rien de bon.
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